Entrée des amazones
à
Pierre
Aliker
à l’heure des faillites frauduleuses, nourri d’enfants occultes
et de rêves de terre, il y a notre oiseau de clarinette,
luciole crépue au front fragile des éléphants
et les amazones du roi de
Dahomey de leur pelle restaurent
le paysage déchu des gratte-ciel de verre déteint,
de voies privées, de dieux pluvieux, voirie et hoirie
de roses brouillées – des mains du soleil cru des nuits lactées.
(Tropiques n° 6-7, février 1943)