Mais il y a ce mal
Si ma pensée emprunte les ailes du menfenil
ô visages c’est entendu
vous êtes proie pour mes serres
et moi je le suis au bec du vent du doute de la suie de la nuit ô cendre plus épaisse vers le cœur et ce hoquet de clous que frappent les saisons
car il y a ce mal
ci-gît au comble de moi-même
couché dans une grande mare la sourde sans ressac
quand le jour vorace me surprit mon odeur
de ce sang du mien tu diras que toujours au seuil il buta de son galop amer que plus juste devant
Dieu que leurs bouches exactes mon mensonge
devant sa face désemparée monta avec un millier d’infants de la haute mer plongeant au ras du bastingage et secoué de l’original sanglot noir des ronces