Marche des perturbations
Une robuste foudre en menace sur le front le plus intouchable du monde en toi toute la lumière veuve des crépuscules des cités poignardées par les oiseaux alentour
Et prends garde au corbeau qui ne vole pas c’est ma tête qui s’est extraite du poteau mi tan de mes épaules en poussant un vieux cri arracheur d’entrailles et d’abreuvoirs
Ornières ornières lait doux brasier de flambes et d’euphorbes