Mort à l’aube
Lutteur il souffle sur des tisons
son visage mal géré par la nuit
d’où la trompe de ses lèvres siffleuses à serpents
imagine mal un corps torturé dans l’oubli
Homme sombre qu’habite la volonté du
feu quand un viol d’insectes s’éparpille dans sa
faim et que seuls les tisons de ses yeux ont bien pris
Mince tison il est celui qui
de sa grêle coquille et parmi une forêt qui défiera
le complot d’évêques des latérites porte le saut d’un fût
dans un secret si clair qu’aucun homme ne l’a cru