Passage d’une liberté
le noir pavillon claquant au vent toujours barbaresque les feux à mi-chemin entre la lumière biologique la plus pressante et la sérénité des constellations la mise en contact qui ne peut se faire qu’à partir de très rares macles de minéraux
Cimarrone sans doute
(le pan de ce visage qui dans l’écume d’un silence
tombe avec des biseautés de mangue)
tellement à la faveur d’oiseaux
dont l’office est à force de pollen
de corriger les bévues des
Erinyes et le raide vin
des murènes