Dans la prison de la garde nationale

Alfred de Musset
par Alfred de Musset
0 vues
0.0

(Vers écrits au-dessous d’une tête de femme dessinée sur le mur.)

Qui que tu sois, je t’en conjure,
Mets ton lit de l’autre côté.
Ne traîne pas ta couverture
Sur le sein déjà maltraité
De cette douce créature.
Un crayon plein d’habileté
Créa son aimable figure,
Qui respire la volupté.
Elle est belle, laisse-la pure.

Alfred de Musset

Qu’en pensez-vous ?

Partagez votre ressenti pour Alfred de Musset

Noter cette création
1 Étoile2 Étoiles3 Étoiles4 Étoiles5 Étoiles Aucune note
Commenter

Votre commentaire est la bougie qui éclaire notre obscurité poétique. Illuminez-nous.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


Nouveau sur LaPoesie.org ?

Première fois sur LaPoesie.org ?


Rejoignez le plus grand groupe d’écriture de poésie en ligne, améliorez votre art, créez une base de fans et découvrez la meilleure poésie de notre génération.