I Théophile Gautier ! poëte Au regard limpide et vermeil, Dont l’œuvre fut un hymne en fête A la vie...
Amants
Sonnet. Ô Rhin, sais-tu pourquoi les amants insensés, Abandonnant leur âme aux tendres rêveries, Par tes bois verdoyants, par tes...
L’eau des fontaines de la pluie, la gentille eau, la fraîche aux joues, l’eau qui a peur quand vient la...
I. Retournons à l’école, ô mon vieux Juvénal. Homme d’ivoire et d’or, descends du tribunal Où depuis deux mille ans...
Aussi fou qu’un essaim de guêpes, Car il ne faut pas qu’on s’y trompe, Mardi-gras, qui mange des crêpes, Est...
Sur le Danube en février Les longs îlots d’herbe frissonnent, Ce sont des tombeaux oubliés Que la brume d’oubli couronne....
Jadis certain Mogol vit en songe un vizir Aux Champs Élysiens possesseur d’un plaisir Aussi pur qu’infini, tant en prix...
J’ai vu passer, l’autre matin, Un jeune Dieu dans la prairie ; Sous un costume de féerie Il sautillait comme...
L’oiseau miraculeux de l’heureuse Arabie Qui vit sans parangon sous le manteau des cieux, Quand il a sillonné le grand...
