N’ayez plus, mes amis, n’ayez plus ceste envie
N’ayez plus, mes amis, n’ayez plus ceste envie
Que je cesse d’aimer ; laissés moi, obstiné,
Vivre et mourir ainsi, puisqu’il est ordonné :
Mon amour, c’est le fil auquel se tient …
N’ayez plus, mes amis, n’ayez plus ceste envie
Que je cesse d’aimer ; laissés moi, obstiné,
Vivre et mourir ainsi, puisqu’il est ordonné :
Mon amour, c’est le fil auquel se tient …
Toi qui m’as tout repris jusqu’au bonheur d’attendre,
Tu m’as laissé pourtant l’aliment d’un coeur tendre,
L’amour ! Et ma mémoire où se nourrit l’amour.
Je lui dois le passé ; c’est …
I
Aux champs, compagnons et compagnes !
Fils, j’élève à la dignité
De géorgiques les campagnes
Quelconques où flambe l’été !
Flamber, c’est là toute l’histoire
Du coeur, des sens, de la …
Poissons amis aimés
Amante de ceux qui furent pêches en si grande
quantité
Vous avez assisté à cette calamité
A cette chose horrible
A cette chose affreuse
A ce tremblement de terre …
Tout est parfait :
quelques corbeaux qui salissent l’azur,
quelques mots vénéneux
pour dire le contraire
de notre vérité,
quelques récifs
pour préparer notre naufrage,
quelques prisons où croupit la licorne,
quelques …
Couché sur le dos, dans le vert gazon,
Je me baigne d’ombre et de quiétude.
Mes yeux ont enfin perdu l’habitude
Du spectacle humain qui clôt la prison
Du vieil horizon.
Làbas, …
Cette personne a dit des méchancetés :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Alors j’ai été …
En dépit des jours moroses
Qu’on voudrait en vain nier,
Mes amis, l’été dernier
J’ai connu de belles roses.
J’écoutais des chants d’oiselles
Et, tout le long des chemins,
Fleurissaient de blancs …
Une ourse fit son entrée dans la ville.
Elle marchait pesamment
Et des gouttes d’eau brillaient dans son pelage
Comme des diamants.
Elle marcha méconnue,
Elle marcha par les rues
Dans son …
Puisque c’est ton métier, misérable poète,
Même en ces temps d’orage, où la bouche est muette,
Tandis que le bras parle, et que la fiction
Disparaît comme un songe au bruit de …
La nuit était fort noire et la forêt trèssombre.
Hermann à mes côtés me paraissait une ombre.
Nos chevaux galopaient. A la garde de Dieu !
Les nuages du ciel ressemblaient à …
On dit : ‘ Triste comme la porte
D’une prison. ‘
Et je crois, le diable m’emporte !
Qu’on a raison.
D’abord, pour ce qui me regarde,
Mon sentiment
Est qu’il vaut …
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