Vous reviendrez bientôt, les bras pleins de pardons
Selon votre coutume,
Ô Pères excellents qu’aujourd’hui nous perdons
Pour comble d’amertume.
Vous reviendrez, vieillards exquis, avec l’honneur,
Avec la Fleur chérie.
Et que …
Vous reviendrez bientôt, les bras pleins de pardons
Selon votre coutume,
Ô Pères excellents qu’aujourd’hui nous perdons
Pour comble d’amertume.
Vous reviendrez, vieillards exquis, avec l’honneur,
Avec la Fleur chérie.
Et que …
Nous fûmes dupes, vous et moi,
De manigances mutuelles,
Madame, à cause de l’émoi
Dont l’Été férut nos cervelles.
Le Printemps avait bien un peu
Contribué, si ma mémoire
Est bonne, à …
La vie est bien sévère
A cet homme trop gai :
Plus le vin dans le verre
Pour le sang fatigué,
Plus l’huile dans la lampe
Pour les yeux et la main,…
(A Germain Nouveau)
Dans une rue, au coeur d’une ville de rêve
Ce sera comme quand on a déjà vécu :
Un instant à la fois très vague et très aigu…
Ô …
« Esprit-Saint, descendez en » ceux
Qui raillent l’antique cantique
Où les simples mettent leurs vœux
Sur la plus naïve musique.
Versez les sept dons de la foi,
Versez, « esprit d’intelligence …
D’autres, ― des innocents ou bien des lymphatiques, ―
Ne trouvent dans les bois que charmes langoureux,
Souffles frais et parfums tièdes. Ils sont heureux !
D’autres s’y sentent pris ― rêveurs …
Quand tu me racontes les frasques
De ta chienne de vie aussi,
Mes pleurs tombent gros, lourds, ainsi
Que des fontaines dans des vasques,
Et mes longs soupirs condolents
Se mêlent à …
Daignez souffrir qu’à vos genoux, Madame,
Mon pauvre cœur vous explique sa flamme.
Je vous adore autant et plus que Dieu,
Et rien jamais n’éteindra ce beau feu.
Votre regard, profond et …
Fifi s’est réveillé. Dès l’aube tu m’as dit
Bonjour en deux baisers, et le pauvre petit
Pépia, puis remit sa tête sous son aile
Et tut pour le moment sa gente ritournelle.…
Éloigné de vos yeux, Madame, par des soins
Impérieux (j’en prends tous les dieux à témoins),
Je languis et je meurs, comme c’est ma coutume
En pareil cas, et vais, le cœur …
Les violons mêlaient leur rire au chant des flûtes,
Et le bal tournoyait quand je la vis passer
Avec ses cheveux blonds jouant sur les volutes
De son oreille où mon Désir …
L’ombre des arbres dans la rivière embrumée
Meurt comme de la fumée,
Tandis qu’en l’air, parmi les ramures réelles,
Se plaignent les tourterelles.
Combien, ô voyageur, ce paysage blême
Te mira blême …
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