Mélodie
(Imitée de Thomas Moore)
Quand le plaisir brille en tes yeux
Pleins de douceur et d’espérance,
Quand le charme de l’existence
Embellit tes traits gracieux,
Bien souvent alors je soupire
En songeant …
(Imitée de Thomas Moore)
Quand le plaisir brille en tes yeux
Pleins de douceur et d’espérance,
Quand le charme de l’existence
Embellit tes traits gracieux,
Bien souvent alors je soupire
En songeant …
Quand je serai mort mes amis, couchez-moi sous Joal-l’Ombreuse
Sur la colline au bord du Mamanguerly, près de l’oreille du sanctuaire des serpents
Mais entre le Lion couchez-moi et l’aïeule Téning-Ndyaré.
Quand …
Comme aux pays tunisiens,
Le soleil flambe sur la ville.
O mes amis, Parisiens,
Vivez! Tout est calme et tranquille.
Nous voudrions qu’on s’entêtât
Pour le bien. Le mieux est encore
De …
Quand reviendra l’automne,
Cette saison si triste,
Je vais m’ la passer bonne,
Au point de vue artiste.
Car le vent, je l’ connais,
Il est de mes amis !
Depuis que …
Coupez le myrte blanc aux bocages d’Athènes,
A Nîmes le jasmin ;
A Lille et dans Paris, que les roses hautaines
Tombent sous votre main,
Aux Martigues d’azur allez cueillir encore
La …
SUR LE BONHEUR DES JUSTES, ET SUR
LE MALHEUR DES REPROUVES
Heureux, qui de la Sagesse
Attendant tout son secours,
N’a point mis en la Richesse
L’espoir de ses derniers jours.
La …
Ducuing, cet ami de Ponsard,
A bien dit son fait à Shakspere.
Ils étaient, avec le soudard
Ducuing, sept amis de Ponsard :
Ils ont pris Shakspere à l’écart,
Et sous leurs …
Certes, en ce tempslà, le bon pays de France
Par le fait de Satan fut très fort éprouvé,
Pas un grêle fétu du sol n’ayant levé
Et le maigre bétail étant mort …
Ne t’attends qu’à toi seul, c’est un commun Proverbe.
Voici comme Esope le mit
En crédit.
Les Alouettes font leur nid
Dans les blés, quand ils sont en herbe,
C’estàdire environ le …
(Études latines, XV)
Ô blanche Tyndaris, les Dieux me sont amis
Ils aiment les Muses Latines ;
Et l’aneth, et le myrte et le thym des collines
Croissent aux prés qu’ils m’ont …
Cimetière aérien, céleste poussière,
Où l’on reconnaîtrait des amis
Avec des yeux moins avares,
Cimetière aérien hanté de rues transversales,
De puissantes avenues
Et de quais d’embarquement pour âmes de toutes
tailles,…
Toimême, éblouissant comme un soleil ancien
Les Regrets des solitudes roses,
Contemple le dégât du Parc magicien
Où s’effeuillent, au pas du Soir musicien,
Des morts de camélias, de roses.
Revisitons le …
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