Tendresse
Après le désespoir vient la tendresse,
comme il sied aux vieillards.
Je suis joyeux, je me redresse
et je m’adonne à l’art.
Je parle aux fleurs.
J’entretiens les comètes.
J’écoute la chanson …
Après le désespoir vient la tendresse,
comme il sied aux vieillards.
Je suis joyeux, je me redresse
et je m’adonne à l’art.
Je parle aux fleurs.
J’entretiens les comètes.
J’écoute la chanson …
Considérant le cours de vie humaine,
Mon simple état, train tel que et domaine,
Qu’il n’est besoin le mettre en inventaire,
N’enregistrer, mais trop mieux de le taire,
Certain je suis que …
Cet « au voleur », c’est mon platane.
Ce « nulle part », c’est ma fourmi.
Ce « j’en mourrai », j’ai trop d’amis
Qui le condamnent.
Ma
Jeanne d’Arc : folles …
Notre existence et les mystères qui l’entourent
Cette vie éphémère qui nous joue bien des tours
Certes, elle est courte et passe comme l’éclair
Le temps quant à lui s’écoule et disparaît …
(SaintLazare)
Triste vieillard, depuis que pour tes cheveux blancs
Il n’est plus de soutien de tes jours chancelants,
Que ton fils orphelin n’est plus à son vieux père,
Renfermé sous ton toit …
Sonnet.
Qu’il est doux d’être au monde, et quel bien que la vie !
Tu le disais ce soir par un beau jour d’été.
Tu le disais, ami, dans un site enchanté,…
Nuits, Jours et nuits sombres !
Feu, Sang et décombres !
Sang clair des libres Espagnols !
Oui pour l’Espagne et la liberté
Un sang pur coule sur notre sol
Pour l’humanité…
Ainsi qu’ils le font chaque année,
En papillotes, les pieds nus,
Devant la grande cheminée
Les petits enfants sont venus.
Tremblants dans leur longue chemise,
Ils sont là… Car le vieux Noël,…
La nue était d’or pâle, et, d’un ciel doux et frais,
Sur les jaunes bambous, sur les rosiers épais,
Sur la mousse gonflée et les safrans sauvages,
D’étroits rayons filtraient à travers …
L’hostie est comme un clair de lune dans l’église.
Or les songeurs errants et les extasiés
Qui vont par les jardins où dans une ombre grise
Des papillons fripés meurent sur les …
De ta source pure et limpide
Réveille-toi, fleuve argenté ;
Porte trois mots, coursier rapide :
Amour, patrie et liberté !
Quelle voile, au vent déployée,
Trace dans l’onde un vert sillon …
Il est dit qu’une fois, sur les arides plaines
Qui s’étendent làbas dans les vieilles forêts,
L’esprit des noirs brouillards qui couvrent ces domaines
Dormit à l’ombre d’un cyprès.
Mais il n’était …
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