Rano raraku
Que c’est beau le monde
La
Grèce n’a jamais existé
Ils ne passeront pas
Mon cheval trouve son picotin dans le cratère
Des hommes-oiseaux des nageurs courbes
Volèrent autour de ma tête car
C’est moi aussi
Qui suis là
Aux trois quarts enlisé
Plaisantant des ethnologues
Dans l’amicale nuit du
Sud
Ils ne passeront pas
La plaine est immense
Ceux qui s’avancent sont ridicules
Les hautes images sont tombées