De face par Andrée Chedid 0 vues 0.0FacebookXWhatsAppEmailParfois je me tiens à l’affût du mort que je seraiDe son côtéLa plaine n’a plus besoin de bâtisseursNi le temps de mesureL’appel des corps s’est tu Les rumeurs se dissipent Le visage s’est accompliPuis d’un coup je pivote Et rejoins ma durée