Vie
Quand l’amour embrase nos corps opaques
Soudain règne la
Vie
Tu fourmilles de fini et d’infini ensemble
L’enfance surgit de ses trappes
L’hiver avance sans détruire.
De siècles en siècles
De place en place
De vies en vies
L’homme se prend aux pièges
Qui l’écartent du lieu
Où ta parole Ô vie
Ne cesse de s’émouvoir.