Si j’étais coupable, je tuerais le malheur dans cette vie.
Nous pleurons toujours pour la vie, alors la vie a-t-elle pleuré pour
nous un jour, ou n’avons-nous pas tous les deux compris les pleurs de
l’autre ?La valeur de la littérature dans cette vie est d’une grande
importance, qui est d’élever la pensée humaine aux plus hauts niveaux
de l’humanité pour affronter l’ignorance, l’arriération, la
médiocrité, les mauvaises apparences, toutes les frustrations
intellectuelles et psychologiques, et répandre toute pensée éclairée.
Nous fronçons les sourcils à la vie avec nos crocs et exigeons qu’elle
nous sourie.
La valeur de la littérature dans cette vie est d’une grande
importance, qui est d’élever la pensée humaine aux plus hauts niveaux
de l’humanité pour affronter l’ignorance, l’arriération, la médiocrité
et les mauvaises apparences et répandre toute pensée éclairée.
Nous sommes pessimistes face à la vie jusqu’à ce que la tristesse nous
entoure dans ses profondeurs enfouies, mais l’optimisme nous en tire
dans un moment d’espoir avec une sollicitude sans pareille.
Les vents de la vie nous soufflent de tous côtés et des vagues de
confusion et de chagrin nous frappent jusqu’à ce que nous pensions que
nous luttons contre le destin, alors recourons à la sagesse et à la
patience jusqu’à ce que nous passions ce tourbillon.
Les jours merveilleux restent sa mémoire chère au cœur, et le parfum
de ses jours sent bon les souvenirs agréables.
Dans nos obsessions accumulées dans la vie, nos imaginations
encombrent les années et les jours, les rêves et les souvenirs.
Les mots purs, avec leur sens et leur parfum, habitent l’âme et le
cœur dans l’éternité.Si j’étais coupable, je tuerais le malheur dans cette vie.