Quelquefois sur le seuil de pierre
Quelquefois sur le seuil de pierre
J’écoute, pensive, le chant
Des martinets, delà lumière
Et des guêpes brunes du champ.
Le jour dans sa ronde joyeuse
D’ailes, de feuilles et de cris
Bat ma maison silencieuse
Comme un nid de chauve-souris.
Mais qu’autour de moi l’heure vaine
S’illumine d’un temps si pur,
Je suis grave et même sereine
D’avoir l’ombre en mes quatre murs.