L’attente
Je languis pour toi, mon amour, c’est trop !
De fabuleuses touches, doigts doux au piano,
Sur tout l’instrument, hanté de frissons,
Voix veloutées, soupires profonds,
A un cheveu près avec mes défauts,
Je te sens me caresser sous la peau.
Encore des frissons puisque tu me manques,
Un manque de rappels physiques pour l’instant,
Jusqu’au jour, oui, retour dans mes bras, joie !
Sublime mais tranquille et active de toute foi.
Chloe Douglas, 2015