Sonnet. Pour le doux ébat que je puisse choisir, Souvent, après dîner, craignant qu’il ne m’ennuie, Je prends le manche...
Désir
Quien no ama, no vive. Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage, Si jamais vous...
En passant auprès du bassin Où le flot s’enfle comme un sein, L’oiseau neigeux m’ayant fait signe, J’approchai bien vite,...
Sans parler, je t’entends : il faut suivre l’orage ; Aussi bien on ne peut où choisir avantage ; Nous...
étant dans sa litière durant la maladie du roi Si la douleur de mon esprit Je pouvais montrer par parole...
À Georges Auric Marronniers, ainsi que l’yeuse Quels arbres, ombrelles rieuses, Ne se déploieraient pour fêter Le retour du prodigue...
Aménaïde, Lyzie et Eugénie de Friberg O vous, mes jeunes sœurs que je ne connais pas ! Sur l’éternel gazon...
L’hiver, les chênes lourds et vieux, les chênes tors, Geignant sous la tempête et projetant leurs branches Comme de grands...
II.. L’amour-propre est le plus grand de tous les flatteurs. XIX. Nous avons tous assez de force pour supporter les...
