D’un gourmand, ivrogne et paresseux
Pour dormir et boire et manger,
Prendre,ébat et me soulager, je ne crains homme de ma taille
A qui ne présente bataille,
Fûtil aussi vaillant qu’
Ogier.
Il n’est que moi pour engorger
Pain, vin, viande et puis chercher
Quelque étable fourni de paille
Pour dormir.
Je ne vaux rien à me charger
De souci, ni pour ménager
Et moins à rien où l’on travaille,
Fors que pour tirer la ventraille
D’un flacon, et puis me coucher
Pour dormir.