Nocturne
«
Travaille ! ou le fouet commence. »
–
O labeur, tunnel immense,
A toi. ces poumons, ce cœur.
Et le fouet cingle, moqueur.
«
Espère, ou ton sang blanchit. »
–
Ah. bon monarque, merci.
Espoir est ma rage même.
Et mon sang devient tout blême.
«
Devine, ou je te dévore. »
El mes os exaspérés.
Mes os devinaient encore.
Mes os étaient dévorés.
Jamais repu, jamais sobre.
Jamais, jamais repenti.
De mon funèbre appétit.
Je mords au raisin d’octobre.
Norge