I Le noir château, couvert de chiffres et d’emblèmes Et ceint des froides fleurs dormant sur les eaux blêmes, En...
Homme
J’étais couché dans l’ombre au seuil de la forêt. Un talus du chemin désert me séparait. J’écoutais s’écouler près de...
Le torrent orageux entraine renversées Les maisons, qu’on assied sur le sable mouvant : Mais les autres qu’on a sur...
L’aube scintille dans l’usure du pare-brise. Incessamment sur les routes, col roulé sur la nuque, L’homme disparaît plus souvent qu’un...
La voilà, pauvre mère, à Paris arrivée Avec ses deux enfants, sa fidèle couvée ! Veuve, et chaste, et sévère,...
J’étais couché dans l’ombre au seuil de la forêt. Un talus du chemin désert me séparait. J’écoutais s’écouler près de...
À Ernest Havet. LOUISE ACKERMANN ………… DERNIER MOT Un dernier mot, Pascal ! À ton tour de m’entendre Pousser aussi...
QUATRIEME PROMENADE Dieu ! que les monts sont beaux avec ces taches d’ombre ! Que la mer a de grâce...
Marie, que je sers en trop cruel destin, Quand d’un baiser d’amour votre bouche me baise, Je suis tout éperdu,...
