A Val Constantine
Chemins de passe hôpital et linceul
Exil décapitant sa tête
Ses paroles étaient d’un enfant
Ses larmes étaient d’un enfant
Je ne sais plus pourquoi l’eau coule torrentielle
L’eau coule et ses yeux sont noyés
L’amour et la misère le rêve et l’indifférence
Car la haine est sans limite
Et l’abandon sans limite
Et ses larmes étaient d’un enfant.
19 Février 1946