Ce qui se déchire et prolifère en moi
Ce qui se déchire et prolifère en moi
Dans le sang de tous ces jours
Des légions de démons furieux
Ne pourraient même l’effleurer
Ni l’atteindre de leurs sarcasmes
Sans être foudroyés et précipités dans un abîme plus
profond
Que leur enfer dérisoire
Ces anges tombés
Ne connaissent rien de l’horreur
Et ne connaîtront jamais rien
De ce totem de la vie
Le seul enfer réel et absolu qui soit