Dévoré par le feu
Dévoré par le feu, dévoré par mes ombres
Ville! par tes douleurs articulées
Tes douleurs prometteuses de visages
Eborgnés par le rire de mes désastres
Aveuglés par mes yeux aveuglés
Ville! mes jours éclatés sont tes jours
Mes jours profanés cimentés par tes ruines
Ville! complice de mes luxures d’idéal
Tu rassembles mes inquiétudes comme autant de
promesses
Et tu construis la route invisible où je marche.