Et ce vertige qui me prend
Et ce vertige qui me prend
Combien durera-t-il d’années
Je voudrais régner sur cette violence
Car je suis présent et absolu puisque malgré moi
toujours
Se lèvent les boucliers et les armes du viol
Du crime de la guerre et de la révolte
J’ai dormi d’un sommeil hypnotique et dément
Je me retrouve au coeur de la mort au réveil
Après cette fuite après cette lutte atroce
C’est juillet et le vent secoue les arbres
Dans le terrain vague et dépareillé comme le monde
Et mon être est dépareillé et horrifié du monde