Je suis perdu dans les abîmes de l’être
Je suis perdu dans les abîmes de l’être
Et seule ta présence me laisse encore un espoir de
raison
Paysage colorié de toute vie substance amorphe
Et soufrée du temps nécessité sans mesure
appel brisé de mes lèvres violacées éteintes
Et que les sarcasmes ont tatoué d’un glaive
Je suis comme cet homme égaré qui vient vers moi
Et qui ne comprend pas pourquoi
Je suis l’immobilité du temps