La solitude la mort la dernière révolte
La solitude la mort la dernière révolte
Celle d’une gloire jouée sur le tapis du temps
Et la parodie qui défigure toute douleur
La fatigue et ce rictus qui n’en finit plus de
masquer la vie
Dont la substance est confondue avec le sperme
Pour un breuvage plus amer et plus mortel que
la misère
Je suis un monstre sans doute
Car je suis encore à l’agonie après des années
Une agonie généralisée dans la dérision
Dans la parodie de la plus totale douleur