Le feu me dévore

par Jacques Prevel

0 vues

0.0

Le feu me dévore quand le froid ne me hurle pas jusqu’à l’os

et je tombe des heures entières dans une catalepsie où la démence

de mes rêves installe un autre enfer.
30 Avril 1947

Qu’en pensez-vous ?

Partagez votre ressenti pour Jacques Prevel

Noter cette création

Aucune note

Laissez un peu de votre âme dans nos vers. Votre commentaire compte.

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Découvrez d'autres poèmes de Jacques Prevel

Refus de s’étendre et de dormir

0 0
Non je ne veux plus faire résonner les mots comme autrefois

0 0
Qu’il s’enflamme

0 0
Je me retrouve dans la maison des Arts

0 0
Je me souviendrai de toi

0 0