Mécanique de l’absolu par Jacques Prevel 0 vues 0.0FacebookXWhatsAppEmailMécanique de l’absoluLumière qui flagelle ma faceQuand serai-je enfin libéré de ta noire désolationSoleil frappé d’interditTotem d’une trahison plus totaleEt moi qui suis toujours à t’attendreVisage diaphane ensanglanté