Le cœur de la peinture…
Le
Cœur de la peinture c’est parfois le
cœur même de la terre
quelque chose qui bat quelque part
à
Gréolières
dans la campagne
dans la montagne
Max
Maurel travaille la terre et
il fait aussi son portrait
Le mur d’une maison à l’entrée d’un village, un paysan avec un fagot
un autre paysan à cheval sur un cheval blanc le ciel dans les branches d’un arbre
Des chèvres en fête heureuse se dressant vers les fleurs
Des
Moutons,
avec leur faim, leur soif, leur sommeil, leur soleil
et leur regard ingénu et loin
Un petit monde familier, saisonnier dans la lumière de l’automne ou de l’été.
Quelque chose qui bat quelque part avec une bouleversante une mystérieuse simplicité.