Un autre, pareil

Johann Wolfgang von Goethe
par Johann Wolfgang von Goethe
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Sur toutes les cimes,
Plus rien ne bouge,
Aux sommets des arbres,
Tu perçois à peine,
Un souffle d’air.
Dans la forêt les oiseaux se sont tus.
Attends, bientôt,
Tu reposeras à ton tour.
(6 septembre 1980)

Traduit de l’allemand par Jean-Pierre Lefebvre
in, « Anthologie bilingue de la poésie allemande »
Editions Gallimard (La Pléiade), 1995

 

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