L’été trop vert
Gueule de bois
L’été trop vert
Nous sommes perdus
Face à ces montagnes
Qui nous crachent au visage
L’orgueil insupportable d’un autre peuple
Alors que les gens dansent et jouent, nous théorisons
Pourquoi les nains de notre jardin sont-ils aussi impuissants ?
Jules Delavigne, 2008