Petites misères d’août
Oh ! quelle nuit d’étoiles, quelles saturnales !
Oh ! mais des galas inconnus
Dans les annales
Sidérales !
Bref, un Ciel absolument nu !
Ô Loi du Rythme sans appel !
Que le moindre Astre certifie
Par son humble chorégraphie
Mais nul spectateur éternel.
Ah ! la Terre humanitaire
N’en est pas moins terreàterre !
Au contraire.
La Terre, elle est ronde
Comme un potaufeu,
C’est un bien pauv’ monde
Dans l’Infini bleu.
Cinq sens seulement, cinq ressorts pour nos Essors….
Ah ! ce n’est pas un sort !
Quand donc nos coeurs s’en irontils en huitressorts ! ….
Des Fleurs de bonne volonté