Mètre
Le vers se définit donc surtout par son mètre, c’est-à-dire par un ensemble de contraintes formelles auxquelles il se soumet.
On connaît trois grandes familles de mètres :
- les mètres quantitatifs, qui s’appuient sur la quantité ou durée des syllabes,
- les mètres accentuels, qui s’appuient sur l’accent tonique,
- les mètres syllabiques qui, insensibles à leurs propriétés prosodiques, se bornent à dénombrer les syllabes.
La structure rythmique du vers; en français, le nombre de syllabes (heptasyllabique, octosyllabique, décasyllabique, dodécasyllabique, …); en anglais, le nombre et type de pieds (pentamètre iambique, par exemple = 5 pieds formés d’iambes, soit : ¦ * — ¦ * — ¦ * — ¦ * — ¦ * — ¦