Les verriers
…encor toutes deux la manière (Dit la troisième alors), le mien sera plus beau. Voyez-vous comme il est renfoncé par derrière, Et comme par devant il renverse la peau ?…
…encor toutes deux la manière (Dit la troisième alors), le mien sera plus beau. Voyez-vous comme il est renfoncé par derrière, Et comme par devant il renverse la peau ?…
Ici gît dans ce tombeau foireux Rud’En-Souppe le valeureux, Qui voyant la guerre entreprise Au pays, et qu’on le cherchait, Se cacha dessous la chemise De sa grand’ Jeanne, qui…
…deux amis ; et deux blanches femmes Qui penchaient vers toi leur front pâle et doux. Et là, sous ta main qui pétrit l’ivoire, Tandis que grondait le riche instrument,…
…service a fait luire la pierre ! De nous, de nos voisins, sois l’abreuvoir commun ; Sois le flot qui jaillit pour tous et pour chacun : Reste à jamais…
…les degrés, Telle autrefois, me dis-je, était la femme forte Des poètes sacrés ! A midi, sur ma table elle pose, attentive, L’œuf du jour, frais éclos, Du lait, quelques…
…sœurs, Amphitoé, Proto, Doris, Callianire, Doto, Cymodocée et Némerte et Janire : Pour moi tes seuls baisers abondent en douceurs. Au bruit des vents, au bruit de la vague irritée,…
…enfin rendue à ses mélancolies. Préludant au sommeil qui va bientôt venir, Ce chant, dont la tristesse à temps égaux s’exhale, Pour chaque matelot est comme un souvenir, Comme une…
…qui rôde autour des bêlantes étables, Et les renards, voisins aux fermes redoutables, A l’abri du regard, possédaient autrefois Ces antres de granit qu’entourent de grands bois. Mais les âpres…
Halte, voiturin ! Je veux, au rivage, Suivre ici la route en humble piéton. Il eut pour berceau cet obscur village, Celui dont ce mur porte inscrit le nom. Tout…
…pour croupir comme de lourds étangs Que la main du Très-Haut, à l’aurore des temps, Vous amoncela dans l’abîme : L’éternel mouvement, telle est la grande loi, Que Dieu fit…
…nouveaux Ce vieux bois, fatigué par tant de durs travaux. L’un des trois compagnons, vieillard solide et svelte, Avait l’aspect hautain d’un ancien patron celte ; L’autre, son fils peut-être,…
…toi, le père, Rentre au sillon, charrue en main. Quand je ris, le travail prospère ; Reprends joyeux ton œuvre austère, L’œuvre dont vit le genre humain ! Renais, renais;…
…Terre antique et toujours si nouvelle, Laisse-moi te bénir, toi que Dieu me révèle Sous le premier rayon d’un matin de printemps. Te voilà ! C’est bien toi qu’adore tout…
Sous le marteau brutal tu tombes pierre à pierre ; Avec indifférence un peuple destructeur Te dépèce, ô vieux temple, ô maison de prière, Qui ne suffisais plus à l’orgueil…
…traverser Le monde tout entier, sans jamais nous lasser : Que toute voix du siècle à ton nom rende hommage ! Nul n’a mieux enchanté les esprits de notre âge…
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