Le travail
…Puis, sans compter les jours, ni les mois, ni les ans, Que l’abîme en fureur se soulève ou qu’il dorme, De cet obscur débris elle épure la forme. Obstinée à…
…Puis, sans compter les jours, ni les mois, ni les ans, Que l’abîme en fureur se soulève ou qu’il dorme, De cet obscur débris elle épure la forme. Obstinée à…
…flots attirés par la grève, L’un près de l’autre assis, tous deux gardent le seuil : Tous deux, l’aimable enfant, au front pur, au bel œil, Garçon qui sur sa…
…ce brin, dont les grappes vermeilles Tentent leurs appétits. — A toi, dit l’écolier, à toi, Pierre, et sois leste ! A toi, Rose ! À deux mains ouvre ton…
…tous, aujourd’hui je suis là ; Je suis là, me chauffant devant ce feu d’épines ; Je regarde parfois du côté des collines, Et je vois fuir au loin quelque…
…les fêtes ;… Soldat, tu fuis la guerre, et marin, les tempêtes ;… Le repos, désormais, soit faiblesse ou vertu, Te séduit ; en un mot, tu vieillis, m’écris-tu. —…
Encore un jour de brume, encore un jour de pluie, Un jour de solitude au coin d’un pâle feu ! Depuis un mois, Paris qu’aucun soleil n’essuie Grelotte, et, l’œil…
…tableau de cette onde où se mire Le chœur des astres d’or, Me fut cher comme à toi, — Sirène que j’admire Sans te connaître encore ! Mais depuis, entraîné…
…horreurs, formidable Océan ! Déchaîne-toi pour me complaire. N’as-tu plus de fierté ni de force en ton sein ? Si tu tiens à ton nom, tu vas montrer enfin L’éclat…
…nuit tombait du ciel immense ; Et tandis que la mer nous reprenait au bord, Errante humanité, nous songions en silence A ce que font de toi les sombres lois…
J’ai cueilli le lis, J’ai cueilli la rose ; Je les ai cueillis, Et je les dépose A vos pieds de rose, A vos pieds de lis ! Des fleurs…
…tout ce temps ? Buveurs, le savez-vous ? Non; mais chaque dimanche à la nuit le ramène, Toujours en linge blanc, toujours pensif et doux. Un soir que dans son…
…mes genoux s’usaient à se plier : Je n’ai point du passé répudié la trace, J’y suis resté fidèle, et n’ai point, comme Horace, Au milieu du combat jeté mon…
…chèrement ces courts instants d’ivresse. Comme j’aime ces vers où l’on voit à leur tour, Les rois unis livrer sa pâture au vautour ; Des pâles cabinets l’étroite politique Le…
Tu sais l’amour et son ivresse Tu sais l’amour et ses combats ; Tu sais une voix qui t’adresse Ces mots d’ineffable tendresse Qui ne se disent que tout bas….
…Toi qui vois, a-t-il chancelé ? Tout est là, tout est prêt ; le panier est à droite : C’est par cette ouverture étroite… Silence ! il est saisi par…
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