Le sacre
(Sur l’air de Malbrouck.)
Dans l’affreux cimetière,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Dans l’affreux cimetière
Frémit le nénuphar.
Castaing lève sa pierre,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Castaing …
(Sur l’air de Malbrouck.)
Dans l’affreux cimetière,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Dans l’affreux cimetière
Frémit le nénuphar.
Castaing lève sa pierre,
Paris tremble, ô douleur, ô misère !
Castaing …
Allons, jeune homme ! allons, marche…!
André Chénier.
En Grèce ! en Grèce ! adieu, vous tous ! il faut partir !
Qu’enfin, après le sang de ce peuple martyr,
Le sang …
Dans notre pleine conscience de la vérité, notre confusion avec la vie augmente.
Notre grande tragédie dans la vie est que nous n’apprenons pas des
erreurs du passé.
.
A l’apogée de …
Astre que l’olympe révère,
Doux espoir des mortels rachetés par ton sang,
Verbe, Fils éternel du redoutable Père,
Jésus, qu’une humble Vierge a porté dans son flanc,
Affermis l’âme qui chancelle ; …
Laissez, ne troublez pas l’heure qui m’est donnée ;
Que je puisse au bonheur reprendre un peu de foi !
Innombrables liens dont ma vie est gênée,
Pensers de chaque instant, soins …
Au terme d’un long voyage, je revois toujours ce corridor, cette taupe, cette ombre chaude à qui l’écume de mer prescrit des courants d’air purs comme de tout petits enfants, je
revois …
À Armance.
Eh quoi ! vous vous plaignez, vous aussi, de la vie !
Vous avez des douleurs, des ennuis, des dégoûts !
Un dard sans force aux yeux, sur la lèvre …
XXI.
Tu dis qu’il n’est pas temps, mondain, que tu t’amendes,
Mais Dieu hait le pécheur qui au péché croupit :
Sa clémence paroît aux offenses plus grandes,
En vain l’attend celui …
C’est le même sentier qui longe la colline :
L’yeuse encore y pousse et la fraîche aubépine ;
Et l’air qu’on y respire aux lisières du bois
Brille aussi transparent, aussi pur …
Le menuisier du vieux savoir
Fait des cercles et des carrés,
Tenacement, pour démontrer
Comment l’âme doit concevoir
Les lois indubitables et fécondes
Qui sont la règle et la clarté du monde.…
À Louis-Xavier de Ricard.
I
La Vie est triomphante et l’Idéal est mort,
Et voilà que, criant sa joie au vent qui passe,
Le cheval enivré du vainqueur broie et mord
Nos …
Les mauvais jours venus, quand de sa robe verte
Le bois a dispersé les guirlandes au vent ;
Le long des parcs en deuil, quand la terre est couverte
De feuillages criards …
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