Programme
…le cœur des complices Machine infernale au sein d’un coquelicot Ils ne s’enrichiront plus longtemps C’est à leur tour Étoile en journal des carreaux cassés Je connais les points faibles…
…le cœur des complices Machine infernale au sein d’un coquelicot Ils ne s’enrichiront plus longtemps C’est à leur tour Étoile en journal des carreaux cassés Je connais les points faibles…
…à l’amour d’André Lestroiscoups L’oiseaus’envole On avait oublié de planter le décor Tintamarre Le pantin verse des larmes de bois Pour Prendre Congé LOUIS ARAGON * * Il revient saluer….
…Et fermant les rideaux, à demi-voix il dit : « Moi, je t’aimais, enfant ; j’aurais été fidèle Adieu donc pour toujours, à toi qui fus si belle ! »…
…dors ! c’est un rêve. En silence la nuit s’achève, Mon front repose auprès du tien, Je l’embrasse et je n’entends rien. Nul ne donne de sérénade À toi, ma…
…vos jours rien ne rompt l’indolente douceur : Lorsque tout va finir, cet hymne de bonheur, Comme à des cœurs brisés, quel penser vous l’envoie ? Ô cygnes de nos…
…ton nom ? réponds. — Tu dis vrai, je suis triste ; Et pourtant, à mes lois jamais rien ne résiste ; Je dépouille en passant les arbres de leur…
ODE. (Couronnée aux jeux floraux.) Des longs ennuis du jour quand le soir me délivre, Poète aux chants divins, j’ouvre en rêvant ton livre, Je me recueille en toi, dans…
Ne m’aimez pas !… Je veux pouvoir prier pour vous, Comme pour les amis dont le soir, à genoux, Je me souviens — afin qu’éloignant la tempête, Dieu leur donne…
…pays, Où, des froids ouragans je n’avais nuls soucis ; Aussi je pleurais bien au moment du voyage… — L’exil est un malheur qu’on comprend à tout âge ! Mais…
…à tomber, qu’importe ! Nous marchons à grands pas, le torrent nous emporte. Oubliant le passé, repoussant le présent, Nos regards inquiets se portent en avant ; Rien n’est beau…
…doux. Je suis l’astre des nuits ; je brille, pâle et blanche, Sur le cœur attristé, sur le front qui se penche, Sur tout ce qui gémit, sur tout ce…
À M. P. D. S. R. Premier commis au département de l’intérieur, En lui envoyant un exemplaire de La Pucelle de Voltaire. Accueillez l’immortel enfant D’une muse un peu libertine…
Supposant dans un seul objet Tout ce que j’exigeais pour plaire, J’adorais un être parfait, Et le croyais imaginaire. L’Amour, quand il m’offrit tes traits, Voulut me prouver ma folie…
…Vous danserez sous l’ombrage. Ah ! je le sens aux regrets Que ce penser a fait naître, Qui dut vous quitter jamais N’eût jamais dû vous connaître. Écrit en 1791….
…n’en veut qu’à ce qui les cache. De jamais le lui reprocher, Pour moi, je me ferais scrupule. Qui craint que le feu ne le brûle Ne doit pas trop…
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