Pascal
…nous crois ébranlés, abêtis, Qu’à dévoiler la Foi, monstrueuse et stérile, Pour nous voir sur son sein tomber anéantis. À quoi bon le nier ? dans tes sombres peintures, Oui,…
…nous crois ébranlés, abêtis, Qu’à dévoiler la Foi, monstrueuse et stérile, Pour nous voir sur son sein tomber anéantis. À quoi bon le nier ? dans tes sombres peintures, Oui,…
…ou se contente un jour, Si fortune effrayant de quelque lâche tour La nourrice d’amour a séché sa poitrine, Tout meurt, votre désir, l’espérance et l’amour. Mais ceux qui sont…
…suis celui pour qui vous faites tant la guerre. Assiste, amour, toujours à mon cruel tourment ! Fortune, apaise-toi d’un heureux changement, Ou vous n’aurez bientôt ni dispute, ni terre….
Vignes du Languedoc, oliviers des Alpines, Toi qui dresses si haut ton front neigeux, Ventoux, Alpes du Dauphiné, forêts, monts et collines, Dans la plaine à vos pieds que regardez-vous…
…et prompt, Aveuglément, comme un taureau qui voit du rouge, Sur les digues des quais tu vas donnant du front. Mais, ô toi le plus fort des fleuves de l’Europe,…
…dent, C’est toute ma fortune ; Des grâces dont chacun veut tant Je n’ai demandé qu’une : Un cœur joyeux, un cœur sans fiel, Et, content, je bénis le ciel….
…retenus ; Garçon d’humeur toujours égale, Non pas comme un quidam que nous avons connu, Du matin jusqu’au soir plus mauvais que la gale ; Mais toujours avenant, mais partout…
…sais l’heure au juste où l’on doit sur sa claie Voir le vieux patient râler et défaillir. Tu sais, tu sais où vont Ninive et Babylone, Tu lis dans l’avenir…
…pour avoir mis Tant d’espoir dans ton Dieu, tant de foi dans sa grâce, Et compté, pour ton trône et les gens de ta race, Sur l’avenir sans fin qui…
…croit, dans sa folie, Qu’il faut que devant lui d’abord tout s’humilie, Aujourd’hui toutefois, sans trop le ménager, Sur ce ton un peu haut je vais l’interroger : Dites-nous, grand…
…toutefois mon zèle m’encourage : Il faut au moins du Rhin tenter l’heureux passage. Un trop juste devoir veut que nous l’essayons. Muses, pour le tracer, cherchez tous vos crayons…
…amuse les ruelles ; Que Segrais, dans l’églogue, en charme les forêts ; Que pour lui l’épigramme aiguise tous ses traits. Mais quel heureux auteur, dans une autre Énéide, Aux…
…aux feux du soleil qui décline : Vois, comme tout est beau ! Comme le ciel est pur ! Vois, la nuit qui s’étend n’a pas de sombres voiles ;…
…sales ordures Et peuvent nettoyer nos plus puants égouts ; Mais, Lui le grand Lion, n’avait pas de ces goûts, Il allait à travers la Forêt séculaire, Et sans souci…
Sonnet III. N’étant, comme je suis, encore exercité Par tant et tant de maux au jeu de la fortune, Je suivais d’Apollon la trace non commune, D’une sainte fureur saintement…
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