Au bord de la mer
…! Oh oui ! la terre est belle et le ciel est superbe ; Mais quand ton sein palpite et quand ton oeil reluit, Quand ton pas gracieux court si…
…! Oh oui ! la terre est belle et le ciel est superbe ; Mais quand ton sein palpite et quand ton oeil reluit, Quand ton pas gracieux court si…
…blessée. Ô toi qui ma Caliste aujourd’hui me ravis, Qui vois ce que je sens, qui sais comme je vis, Malicieux destin qui me sépares d’elle, Tu répondras pour moi…
…avant la victoire. Ce beau soleil d’Amour pour un temps obscurci, Que les dédains couvraient comme un épais nuage, Rendant de ses rayons tout le ciel éclairci, A chassé les…
…monte d’autant plus que les grèves s’affaissent. Le sable boit le soleil clair Oh revenir aux aurores du monde ! Tout se conforte, tout se détruit, tout se féconde. On…
…ces riches lambris l’on ne voit qu’en portraits. Croismoi, retironsnous hors de la multitude Et vivons désormais loin de la servitude De ces palais dorés où tout le monde accourt….
A EPHRAÏM MIKHAËL. Par les vastes forêts, à l’heure vespérale, Les ruisseaux endormeurs modulent leurs sanglots : Mon âme s’alanguit d’une horreur sépulcrale A l’heure vespérale où murmurent les flots….
…soupirs de ma juste complainte, Ayez de mon ennui quelque compassion. Ne souffrez que le deuil soit maître de mon âme, Mais par quelque faveur étranger mon souci, Autrement en…
…Lance un nouveau soleil à nos yeux éperdus ! Détruis ce vieux palais, indigne de ta gloire ; Viens ! montretoi toimême et forcenous de croire ! Mais peutêtre, avant…
À Jean Richepin Par la forêt et la ravine, La lèvre rouge et les fronts bruns Les zingaris, fils des vieux Huns, Vont chevauchant, tribu divine. Ils ouvrent au vent…
…viens de t’éveiller pour finir ton poëme Dans l’an cinquantetrois du siècle dixneuvième. Et je me réveillai tout à fait ; je n’avais Plus rien autour de moi ; la…
…futurs, de l’abîme sorti ; Mais tu sais aujourd’hui ce que vaut ce blasphème ; Ô fils du charpentier, tu n’avais pas menti ! Tu n’avais pas menti ! Ton…
…tombe étoilé des virginités mûres Et l’air tiède des soirs est comme un vin puissant. Tout se réveille, et vibre, et germe, et se déploie, Et porte dans le coeur…
…accrues, Dans la faim, dans la soif, dans l’épouvante assis, Ils revoyaient leurs murs écroulés et noircis, Et, comme aux crocs publics pendent les viandes crues, Leurs princes aux gibets…
Vous m’aviez dit que vous m’aimiez bien fort, Bien fort, bien fort, et ainsi je l’ai cru, Mais tôt après vous fîtes votre effort D’en dire autant en un lieu…
Stances S’il est vrai, Cloris, que tu m’aimes, Mais j’entends que tu m’aimes bien, Je ne crois point que les Rois mêmes Aient un heur comme le mien : Que…
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