Ciel, air et vents, plains et monts découverts
Ciel, air et vents, plains et monts découverts, Tertres vineux et forêts verdoyantes, Rivages torts et sources ondoyantes, Taillis rasés et vous bocages verts, Antres moussus à demifront ouverts, Prés,…
Ciel, air et vents, plains et monts découverts, Tertres vineux et forêts verdoyantes, Rivages torts et sources ondoyantes, Taillis rasés et vous bocages verts, Antres moussus à demifront ouverts, Prés,…
…sort quelquefois, Et quelquefois cueillant des fleurs toute pensive, EIle en orne son sein, assise sur la rive. Maintenant elle semble une Nymphe des eaux, Maintenant des forests : et…
…Ces tronçons déchirés, épars, près d’épuiser Leurs forces languissantes, Se cherchaient, se cherchaient, comme pour un baiser Deux bouches frémissantes ! Et comme je rêvais, triste et suppliant Dieu Dans…
…poumons ôte le mouvement : Mais elle n’y peut rien, pour autant qu’en mon âme Éclairent vos beaux yeux qui me sont, vous aimant, Sang, coeur, nerfs, vie, esprits, force,…
…qui nous ment ! ‘ C’était bien toi pourtant, république, ô guerrière ! Qui nous apparaissais dans un flot de lumière. Tu savais ton pays presque désespéré ; Alors, brisant…
…Mais que te nuisoitelle en vie, Mort ? Deux étions et n’avions qu’un coeur ; S’il est mort, force est que dévie, Voire, ou que je vive sans vie Comme…
…jamais, Car, étant son capitaine, Comme un enfant je l’aimais ; J’aurais moins aimé peutêtre L’enfant que j’aurais vu naître. De son coeur on n’est pas maître. Moi, je suis…
L’infini tout entier transparaît sous les voiles Que lui tissent les doigts des hivers radieux Et la forêt obscure et profonde des cieux Laisse tomber vers nous son feuillage d’étoiles….
…dore, Atteint, du premier pas, la moitié de son tour, Et commande aux vents frais, qui composent sa cour, De souffler sur ces lieux que sa flamme dévore. Là, des…
…les forts, l’habitude De la force les rend invaincus au déduit. Plantureux, savoureux, débordant, le déduit ! Je le crois bien qu’ils l’ont la pleine plénitude ! Et pour combler…
Tu es le rien, fortune : et si es toute chose, Rien, parce que de rien toutes choses se font, Tout, parce que dans toi les choses se défont ;…
…l’admiraient et tous se demandaient comment, A mesure que l’ombre étreignait son écorce, Il sentait mieux l’orgueil lui insuffler la force. Mais les arbres qu’il entraînait dans ce combat Que…
Forêts solitaires et sombres, Je viens, dévoré de douleurs, Sous vos majestueuses ombres, Du repos qui me fuit respirer les douceurs. Recherchez, vains mortels, le tumulte des villes ; Ce…
…Mais cet oiseau du bois sauvage M’a bien dit : ‘ Tu l’aimeras toujours ! ‘ Pour une fleur de ta ceinture J’ai donné ma vie et mon repos. Loin…
…Je me suis lâchement à tout vice adonné, J’en conçois de regret une douleur amère, Je ne m’excuse pas, mais, Seigneur, ce péché Qui par sa compagnie a mon coeur…
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