Fô a dit…
‘ Ce tapis que nous tissons comme
‘ Le ver dans son linceul
‘ Dont on ne voit que l’envers seul
‘ C’est le destin de l’homme.
‘ Mais peutêtre qu’à d’autres yeux,
‘ L’autre côté déploie
‘ Le rêve, et les fleurs, et la joie
‘ D’un dessin merveilleux. ‘
Tel Fô, que l’or noir des tisanes
Enivre, ou bien ses vers,
Chante, et s’en va tout de travers
Entre deux courtisanes.
Contrerimes