C’est presque l’invisible qui luit par Rainer Maria Rilke 0 vues 0.0FacebookXWhatsAppEmailC’est presque l’invisible qui luit audessus de la pente ailée ; il reste un peu d’une claire nuit à ce jour en argent mêlée.Vois, la lumière ne pèse point sur ces obéissants contours et, làbas, ces hameaux, d’être loin, quelqu’un les console toujours. Les quatrains valaisans