Ville étrangère
Terrassé par les habitudes de maux qui tentent d’aboutir le pauvre dans sa solitude attend le moment de partir
pour des cieux des mers ou des terres où nul ne voudrait asservir l’inquiétude d’un esprit fier à la honte d’un repentir
Plaies des matinées sans travail l’hiver est fait de trahisons le long des rues lorsque l’on bâille adossé contre une maison eomme le pauvre qui travaille
à continuer les pâmoisons
de ces chaussures qui trop bâillent
et des bouches sans oraisons
Seul souvenir des temps passés un jour d’hiver qui agonise irez-vous pauvres trépassés corrompre la mer qui se brise sur les falaises échancrées ou bien glacés par vents et brises gémir tout le long de l’année sur un malheur qui s’éternise?
L’obscurité des loups qui meurent de misère
les faubourgs sont trop loin pour la clarté des jours
L’année blanche des jours qui se sont écoulés attend avec passion une fin trop commune
le pauvre qui la suit regarde dérailler les désespoirs communs d’une plèbe importune 6 temps déjà passés n’avez-vous point failli dégager les malheurs des peines trop communes? mais les jours se sont tus tout le long de l’année la neige des hivers termine sa ceinture et le pauvre qui suit regarde s’évanouir les espoirs unissant cette plèbe importune
Vaisseaux indifférents qui présidez au sort des incertains bandits poursuivant la fortune transportez mes destins et ma vie importune au-delà des baisers du bonheur qui s’endort
Londres, 1