À José-Maria de Heredia. I J’aime mon vieil Artois aux plaines infinies, Champs perdus dans l’espace où s’opposent, mêlés, Poèmes...
Regard
O femme, chair tragique, exquisement amère, Femme, notre mépris sublime et notre Dieu, O monstre de douceur, et cavale de...
A Auguste Préault O Thessalie, il est dans tes monts pittoresques De noirs vallons, jonchés de laves et de rocs,...
À Francisque Gerbault. Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu l’aurore ; Ils dorment...
On vit, on parle, on a le ciel et les nuages Sur la tête ; on se plaît aux livres...
Oh ! pourquoi de ce Temps, l’étoffe de la vie, Ne pouvons-nous, dis-moi, jouir à notre envie, Sans le déchirer...
L’été hurle de soif ; la terre ardente éclate. Le lézard bâille et dort sous le pampre écarlate. Le chaume...
Entendant des sanglots, je poussai cette porte. Les quatre enfants pleuraient et la mère était morte. Tout dans ce lieu...
Le ciel si pâle et les arbres si grêles Semblent sourire à nos costumes clairs Qui vont flottant légers avec...
