Oh la toujours plus rase solitude
Oh la toujours plus rase solitude
Des larmes qui montent aux cimes.
Quand se déclare la débâcle
Et qu’un vieil aigle sans pouvoir
Voit revenir son assurance,
Le bonheur s’élance à son tour,
À flanc d’abîme les rattrape.
Chasseur rival, tu n’as rien appris,
Toi qui sans hâte me dépasses
Dans la mort que je contredis.