La nuit puis le jour
Contemples-tu ce silence ? …
Admires-tu ce ciel et son obscure clairvoyance ?
Cette lune qui veille sur cet univers,
Ou le cirque du monde n’est qu’illusion éphémère ?
Ressens-tu cette quiétude
De la pèlerine noire dans sa plénitude
Le sortilège de cette nuit obscure
Où l’âme s’apaise et devient pure
Songes-tu à la nouvelle vie qui t’es offerte
En observant le lever du jour
Remercies-tu le bon Dieu qui t’a faite
Et qui nous attend dans son éternel séjour