Muse, n’est-ce point là le feu de la Deesse

Avatar
par Salomon Certon
0 vues
0.0

Muse, n’estce point là le feu de la Deesse
Qui naquit autrefois dans le champ marinier,
Qui d’un brin esclattant ne nous veut denier
Du matin qui s’en vient le jour et la promesse ?

Desja, n’estce point là l’aurore qui se dresse,
Vermillonnant ces Montz de son char saffranier ?
Desja, n’estce point là le flambeau journalier,
Qui des plus petits feux faict escarter la presse ?

C’est le jour, pour le seur, c’est le poinct asseuré
Qui te delivrera du combat enduré,
Qui t’a toute la nuict fait guerre si cruelle,

Mon oeil ne veille plus, tu es en liberté
De t’aller reposer par le jour appresté,
Qui t’annonce le point de ceste aube nouvelle.

Vers leipogrammes

Salomon Certon

Qu’en pensez-vous ?

Partagez votre ressenti pour Salomon Certon

Noter cette création
1 Étoile2 Étoiles3 Étoiles4 Étoiles5 Étoiles Aucune note
Commenter

Laissez la muse vous guider, comme elle l'a fait pour Lamartine. Commentez et émerveillez-nous.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


Aucun poème populaire trouvé ces 7 derniers jours.

Nouveau sur LaPoesie.org ?

Première fois sur LaPoesie.org ?


Rejoignez le plus grand groupe d’écriture de poésie en ligne, améliorez votre art, créez une base de fans et découvrez la meilleure poésie de notre génération.