Tu rentreras comme Voltaire…
Tu rentreras comme Voltaire
Chargé d’ans, en ton grand Paris ;
Des Jeux, des Grâces et des Ris
Tu seras l’hôte involontaire.
Tu seras le mourant aimé ;
On murmurera dès l’aurore,
A ton seuil à demi fermé,
Déjà ! mêlé de Pas encore.
A la fois marmot et barbon,
Tu pourras penser, joie honnête :
Je suis si bon qu’on me croit bête
Et si bête qu’on me croit bon.
Toute la lyre