Vieillesse

J’avais au pied des saints autels Courbé ma tête appesantie, La terre à mes regards s’était anéantie, Et, loin du...
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… Dans un vague terrible et souffrant, chaque forme, Comme sous le brouillard les bras nus d’un vieil orme, Se...
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Qui les a vus franchir la puissante limite ? Comment de nos soldats ont-ils vaincu l’élite, Ces nombreux bataillons de...
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Toujours ces quatre douces têtes Riaient………….. Victor Hugo. Devant le grand feu vif de sarment qui pétille, Le père est...
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